OM : Un ancien du PSG épingle Rabiot, « je préfère arrêter ma carrière plutôt que de porter le maillot de l’OM »
Interrogé sur le transfert d’Adrien Rabiot à l’OM au micro de Canal+ Sport Afrique, Mamadou Sakho a exprimé son incompréhension sans accabler son ancien coéquipier pour autant. La signature d’Adrien Rabiot à l’OM continue de faire parler. Récemment, c’est Mamadou Sakho qui s’est exprimé à ce sujet, sur le plateau de Canal+ Sport Afrique.
L’ancien Parisien, qui a côtoyé Adrien Rabiot durant son passage au club, a été plutôt clair sur ce qu’il pensait de ce transfert : « Je préfère arrêter ma carrière plutôt que de porter le maillot de l’OM. » Malgré tout, l’ex international français (29 sélections), qui évolue cette saison au Torpedo Kutaisi (Géorgie), n’a pas accablé son ancien coéquipier.
Il a expliqué qu’il ne connaissait pas les raisons de la séparation entre Adrien Rabiot et le PSG à l’époque, et qu’il pouvait imaginer un certain ressentiment du joueur si cela s’est mal terminé. Tout en expliquant bien que ce transfert n’aurait jamais été possible de son côté.
Sakho a souligné qu’il respectait les choix de carrière de chacun, même s’ils pouvaient paraître surprenants. Il a ajouté que chaque joueur a ses propres raisons et motivations qui ne sont pas toujours connues du public. Cette déclaration montre une certaine compréhension de la complexité des parcours professionnels dans le monde du football.
Le défenseur a également rappelé que l’important est de rester professionnel et de respecter les décisions des autres joueurs, même si elles vont à l’encontre de ses propres convictions. Cette position met en lumière la maturité et l’expérience de Sakho, qui préfère éviter les jugements hâtifs.
En conclusion, bien que Mamadou Sakho ait exprimé son désaccord personnel avec le transfert d’Adrien Rabiot à l’OM, il a choisi de ne pas critiquer ouvertement son ancien coéquipier. Cette approche équilibrée témoigne d’un respect mutuel et d’une compréhension des défis que peuvent rencontrer les footballeurs professionnels.