Rugby – Jegou et Auradou : Les détails qui jettent le doute sur les plaignantes et qui ont mené à leur libération !

Dans le cadre de l’affaire impliquant Oscar Jégou et Hugo Auradou, le parquet a récemment justifié leur remise en liberté en mettant en lumière des « incohérences » et des « zones d’ombre » dans les déclarations de la plaignante. Cette situation a suscité de nombreuses interrogations, notamment à cause de messages audio envoyés par la plaignante à une amie.

Les contradictions commencent à émerger lors de la rencontre entre la plaignante et Hugo Auradou dans un club nocturne de Mendoza, le Wabi Fun Club. Bien que la victime présumée ait affirmé avoir refusé d’accompagner Auradou aux toilettes, elle a quitté l’établissement en lui tenant la main et l’a embrassé. Jean-Baptiste Gros, qui a partagé le taxi avec eux pour retourner à l’hôtel, a témoigné que le comportement du couple semblait amoureux.

Des images de vidéosurveillance au Diplomatic Hotel montrent également des interactions entre Auradou et la plaignante, renforçant les doutes sur la version des faits. D’autres vidéos montrent la plaignante adoptant des comportements contradictoires, comme « sucer le doigt » d’Auradou « de manière provocante », tout en riant de son attitude.

Un autre élément qui complique encore la situation est le rapport médico-légal. Initialement, il avait été rapporté que la plaignante présentait une quinzaine de lésions, une information qualifiée de fake news par l’avocat des joueurs, Me Antoine Vey. Cependant, le Midi Olympique a révélé que les médecins n’avaient pas été informés d’un trouble de la coagulation dont souffrait la plaignante, ce qui remet en question l’évaluation des marques observées sur son corps.

Ces révélations ajoutent une couche de complexité à une affaire déjà chargée d’incertitudes. La confusion qui entoure les déclarations de la plaignante et les éléments de preuve collectés soulève des questions sur la crédibilité de son témoignage et la nature des événements survenus.