Fiorentina – Club Brugge (3-2) : Les notes complètes [Conference League – Demi-finale]
Homme du match: Sottil (7.5): il ouvre le score tôt dans le match, permettant à la Fiorentina de prendre un sérieux avantage. C’est également une de ses tentatives qui permet à Belotti de trouver le second but. Sa sortie sur blessure fait beaucoup de mal à la Fiorentina, qui finira tout de même par prendre un léger avantage pour la qualification.
Fiorentina (4-2-3-1)
Terracciano (5.5): il répond présent lorsqu’il est sollicité et ne peut pas grand-chose sur les buts belges.
Dodô (6): en plus de la solidité défensive, il apporte quelques pistes intéressantes en phase offensive, particulièrement en première période.
Martinez Quarta (5.5): il réalise une partie solide malgré la remontée des Belges.
Ranieri (5.5): il entre bien dans le match et ne commet que très peu d’erreurs. Il ne parvient cependant pas à éviter le but de Thiago, qui égalise une seconde fois.
Biraghi (5.5): il apporte énormément de solidité au milieu de terrain et dicte le jeu de la Viola. Malheureusement pour lui, une déviation d’Arthur lui rebondira sur la main, provoquant un pénalty en faveur des hommes de Hayen.
Arthur (6): plutôt convaincant ce soir, le ballon circule bien côté Fiorentina, et le jeu est propre. Lopez le remplace à la 70ème minute.
Bonaventura (6): toujours propre et précis, il propose d’efficaces solutions offensives à ses coéquipiers, qui ne parviendront pas toujours à les exploiter. Il cède sa place à Barak à la 88ème minute.
Nico Gonzalez (6): il pèse beaucoup sur l’attaque florentine et gêne son adversaire du soir qui a parfois du mal à suivre.
Beltràn (5.5): la volonté est indiscutable, l’impact réel est cependant pratiquement nul. A part quelques bonnes initiatives en première période, il ne propose pas grand-chose. Ikone prend sa place à la 70ème minute.
Sottil (7,5): voir ci-dessus. Kouamé prend sa place à la 52ème minute.
Belotti (6.5): il ne relâche jamais la pression sur les défenseurs belges, et son travail finit par payer. C’est lui qui inscrit le second but en faveur de la Fiorentina, qui lui permet de reprendre l’avantage. Nzola prend sa place à la 88ème minute, et inscrira le but de la victoire.
Club Brugge (4-4-1-1)
Jackers (5): il n’apporte pas vraiment de sérénité ce soir et commet des erreurs qui auraient pu coûter plus cher. Une belle parade sauve cependant les siens dans le dernier quart d’heure, du moins momentanément.
Sabbe (5): il a du mal à faire face à Sottil sur son couloir, et commence à respirer à sa sortie.
Spileers (5.5): il est concentré et commet peu d’erreurs ce soir face à un adversaire qui pousse constamment. Ordonez prend sa place dans le temps additionnel.
Mechele (4): il manque clairement de lucidité ce soir et ne rassure pas ses coéquipiers. Il prend quelques risques qui auraient pu avoir d’autres conséquences.
Meijer (5): il a du mal à contrer les intentions de son adversaire du soir et dépense beaucoup d’énergie, qui ne suffiront pas jusqu’à la fin du match.
Skoras (5): il est bien trop léger pour empêcher les Florentins de prendre le contrôle du match, qui aurait pu finir bien plus en défaveur des Belges. Nielsen le remplace à la 66ème minute.
Odoi (5.5): peut-être le plus convaincant parmi les milieux belges, il tente de mettre un peu d’ordre dans le jeu de ses coéquipiers qui ont du mal à le développer. Cìest Balanta qui prend sa place dans le temps additionnel.
Onyedika (4): il laisse les siens en sérieuse difficulté à l’heure de jeu en cumulant deux cartons jaune en l’espace de quelques minutes.
Jutglà (5.5): il propose beaucoup, mais transforme peu. Ses initiatives engagent les défenseurs de la Fiorentina, mais ne les fait jamais réellement trembler. Vetlesen prend sa place à la 79ème minute.
Vanaken (6): malgré un tir douteux, c’est lui qui transforme le pénalty et permet aux Belges d’égaliser une première fois dans le match. Pour le reste, il n’aura jamais vraiment d’impact.
Thiago (7): alors que les belges se retrouvent en infériorité numérique, il a la lucidité de parcourir tout son couloir face à Ranieri qui pense pouvoir le contrer jusqu’au bout, et d’envoyer une très belle frappe qui permet aux siens qui n’y croyaient plus d’égaliser momentanément.