Panathinaïkos - Rennes (1-2) : Les notes complètes [Europa League - 3ème j.]

Panathinaïkos – Rennes (1-2) : Les notes complètes [Europa League – 3ème j.]

Homme du Match : Kalimuendo (7) : Il touche peu de ballons mais n’est pas fantomatique pour autant, loin de là. Il sait se rendre disponible pour garder le ballon et construire, et il est surtout auteur d’un but somptueux pour mettre les Rennais à deux buts des Athéniens. Son importance, peu évidente, est néanmoins cruciale. Il est remplacé par D. Doué à la 80ème.

 

Panathinaïkos : 4-2-3-1

Brignoli (6.5) : Il se libère petit-à-petit en effectuant des arrêts importants, surtout en deuxième période où il évite aux Rennais de prendre le large.

Mladenović (5) : Un match convaincant avec des montées qui ont inquiété les Rennais.

Jedvaj (6) : Une belle capacité à casser des lignes pour trouver de bonnes passes, dangereuses, vers l’avant.

Schenkeveld (5) : Moins en vue que son coéquipier Jedvaj, il a tout de même livré un bon match.

Vagiannidis (6) : Très remuant, le latéral de l’équipe au trèfle a excellé dans la projection et les centres qu’il distille avec précision. Remplacé par Kotsiras à la 79ème.

Arão (6) : Plaque tournante de cette équipe Grecque, il a délivré de bons ballons que ses coéquipiers n’ont pas toujours correctement exploités.

Čerin (5) : Solide défensivement mais moins en vue devant. Remplacé par Vilhena à la 62ème.

Palacios (6.5) : Une menace constante pour les Rennais et surtout pour Assignon qui s’est montré à la peine face à l’Argentin. Ce dernier provoque un penalty sur ce même Assignon. Il est remplacé juste après la transformation par Mancini à la 62ème.

Đuričić (5) : Bon mais trop peu précis, sa formation avait largement l’opportunité de revenir dans le match par son intermédiaire. Remplacé par Šporar à la 74ème, pour passer à deux attaquants et continuer de pousser.

Bernard (6) : Véloce et remuant, il a eu quelques opportunités mais a surtout été utile techniquement. Remplacé par Cantalapiedra à la 62ème.

Ioannidis (7) : Incontestablement homme du match des hommes au trèfle, il est de partout et pèse constamment sur la défense Rennaise.

 

Stade Rennais F.C. : 4-3-3

Mandanda (7) : Un apport évident avec une expérience qui apporte beaucoup à sa (trop) jeune défense, il effectue les arrêts qu’il faut au bon moment. Le seul but encaissé l’est sur penalty, à moindre mal.

Truffert (5) : Un match compliqué, il a difficilement tenu la baraque mais a surtout profité des nombreuses erreurs techniques Grecques. Remplacé par Theate à la 80ème, qui rentre arrière gauche.

Belocian (7) : Un grand match pour lui, il a peut être pris de surprise beaucoup de monde en sortant un match de patron. En l’absence d’un leadership de la part d’un Omari qui semble presque régresser, il va donner des maux de tête à Génésio.

Omari (4) : Après un désastre à Lorient, il ne se reprend que très peu, avec un nouveau match très compliqué. Il n’est pas aidé par Assignon, tout bon joueur qu’il est, laisse son côté bien découvert.

Assignon (4.5) : Mis au supplice par Palacios à de trop nombreuses reprises, il laisse son côté ouvert et concede même un penalty face à Palacios, toujours.

Le Fée (4.5) : Auteur d’une première période terne, il est le deuxième joueur Rennais à sortir sur blessure. Le suisse Rieder (6) le remplace à la pause, auteur d’une belle entrée, et initiateur du second but avec son coup-franc.

Matić (5.5) : Un nouveau match qui ne restera pas dans les annales pour lui, mais il fait le plein de ruse en fin de match, et en distribue à ses coéquipiers, pour gagner du temps. Ce n’est pas novateur dans le football, mais ça l’est pour le Stade Rennais.

Bourigeaud (non noté) : Après un début de match poussif, il sort à la demie-heure de jeu sur blessure. Santamaria (5.5) le remplace, auteur d’un match sans coup d’éclat.

Gouiri (6) : Tonitruant en entrée de match, il s’éteint peu à peu et marque le pas après son but précoce.

Kalimuendo : Voir ci-dessus.

Blas (6) : Il fait un match convenable mais doit être remplacé avant la fin de match, il traîne une fatigue peu masquée.

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