Ligue des Champions – 4ème j. | Les notes de Naples – PSG (1-1)

Homme du match : Allan (8) : Comme à l’aller, le brésilien a montré un engagement de tous les instants. Allan se bat sur chaque ballon et même quand à de rares occasions il le perd, il retourne au combat. En bref, l’homme qui manque au PSG. Allo Antero ?

Naples (4-4-2)

Ospina (4,5) : 3 tirs cadrés pour 2 arrêts faciles et un but, sinon pas grand chose.

Maksimovic (4) : Les deux seules percées sur son cotées ont amenées le but parisien et un penalty non sifflé. Remplacé par Hysaj à la 76′.

Albiol (5) : Il a pris un sérieux courant d’air signé Mbappé sur le but du PSG.

Koulibaly (7) : La muraille napolitaine a encore été impassable et s’est même permis quelques montées. Un cauchemar pour les attaquants.

Rui (3) : Pas inspiré, ni devant ni derrière.

Allan (8) : Voire ci-dessus.

Hamsik (5) : Le capitaine à la crête la plus célèbre d’Italie n’a pas eu l’impact habituel avec entre autres plusieurs duels perdus.

Callejon (7) : Des accélérations dévastatrices, des passes bien senties et surtout un penalty provoqué (61′).

Ruiz (5) : Des mauvais choix dans les tirs et des passes brouillonnes mais de l’activité. Averti à la 48′ et remplacé par Zielinski à la 73′.

Mertens (7) : Il a mis Buffon à contribution tantôt avec force (51′), tantôt avec finesse (52′) mais n’a pas trouvé la faille. Un vrai poison. Touché à l’épaule, il laisse sa place à Ounas à la 83′. OUF.

Insigne (6) : Ses retrouvailles avec Gigi ont tournées à son avantage grâce à un penalty placé au ras du poteau. Un but qui change tout puisqu’il laisse Paris à la 3e place du groupe.

 

PSG (4-3-3)

Buffon (7) : Il n’est pas passé loin d’endosser le costume du sauveur pour son retour en Italie mais la pression du Napoli a finie par payer. Dans un gros temps fort napolitain il a effectué trois arrêts très importants (51′, 52′, 57′), avant de s’incliner sur le penalty parfait d’Insigne (63′).

Marquinhos (5) : Il a réalisé quelques bonnes interventions mais a trop rarement joué vers l’avant et ne s’est jamais projeté. Dans une défense à trois, Marquinhos doit plus aider son équipe dans la construction et apporter le surnombre au milieu.

Silva (4) : Solide et serein jusqu’à son mauvais contrôle qui entraine le penalty transformé (63′). Une gaffe qui coute cher à Paris.

Keher (6) : Préféré à Kimpembe en début de match il a plutôt bien rempli son rôle, avec notamment son sauvetage salvateur à la 53′ sur une frappe de Callejon. Catapulté à l’autre bout du terrain à la sortie de Meunier (73′), il a une nouvelle fois montré de belles choses. Polyvalent à souhait. Remplacé par Choupo-Moting à la 90’+2.

Verratti (5) : Toujours pas de match référence pour lui en Champions League. Il est clairement orphelin de Motta et n’a jamais semblé pouvoir démontrer tout son potentiel. Allez Antero, un 6 et vite !

Draxler (6) : Intelligent dans les zones qu’il a recherché avec ses passes et propre techniquement. Sa prestation a été à la hauteur de ses dernières sorties.

Meunier (4) : On l’a connu plus à son avantage en milieu de semaine. Il a laissé beaucoup d’espace dans son dos et a raté de nombreux gestes techniques, ce qui est inhabituel chez lui. Il cède sa place à Kimpembe à la 73′.

Bernat (5,5) : Outre son but à l’arrache (45’+2), il a une fois de plus été assez neutre dans le jeu et n’a pas assez levé la tête sur les phases offensives. Il aurait pu/dû être doublement décisif sur un penlaty non sifflé à la 72′.

Di Maria (3) : Quand il n’est pas décisif, son absence dans le jeu devient problématique. Angel est dilettante et ça ne date pas d’hier. Sa réussite ? L’ovation pour Cavani à sa sortie (77′).

Mbappé (6) : Un travail de repli intéressant et un éclair pour offrir le premier but à Bernat. Si il n’avait pas loupé le but de la victoire à la 85′ sur un centre de Kehrer, il auarit été élu homme du match et Paris lui aurait dit merci !

Neymar (6) : Une première mi-temps de haut niveau, une seconde bien plus dure. Dès les premières minutes on l’a vu accompagner Mbappé dans le pressing et leur association a souvent était pertinente dans le premier acte. C’est sur une merveille de passe dont il a le secret pour Mbappé côté gauche que Paris marque juste avant la pause (45’+2). Au retour du vestiaire son implication défensive a été moindre voire inexistante et il a été globalement bien moins lucide. Beaucoup de déchets et d’individualisme, on Ney’moins.

 

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